Dany Boon â les pubs EDF. Ils ont dĂ©pensĂ© tout lâargent dans la pub alors quâils avaient le monopole de lâĂ©lectricitĂ©. On Ă©tait tous abonnĂ©s.
Au royaume des temps jadis, oĂč rĂšgne l’Ă©lectricitĂ©, Il est une histoire que je vais vous conter, Elle se dĂ©roule au Moyen Ăge, en ces temps bĂ©nis, Quand EDF, puissant, avait l’Ă©nergie Ă l’infini. Dany Boon, joyeux troubadour des terres lointaines, Parcourait les contrĂ©es, portant rires et haines, Il se moquait des puissants, sans peur et sans retenue, Et EDF, la cible de sa vive verve, en fut tout Ă©mue. Les pubs d’EDF, qui envahissaient chaque coin, Faisaient miroiter merveilles, pour attirer les voisins, Mais l’argent ainsi dĂ©pensĂ©, sans aucune limite, Faisait jaser les foules, et la rumeur s’y invitait. Car EDF, vile Ă©nergĂ©ticienne Ă profusion, DĂ©ployait tous ses efforts dans cette dĂ©bauche de millions, Alors qu’elle possĂ©dait le monopole tout-puissant, Les abonnĂ©s se demandaient oĂč partait l’argent engloutissant. Les bardes chantaient alors, de village en village, Les pubs d’EDF, vives Ă©tincelles de mirages, Ils dĂ©nonçaient le gaspillage, l’injustice de ces temps, Et tous les abonnĂ©s se sentaient lĂ©sĂ©s, impuissants. Mais voyez-vous, mes amis, la morale de cette histoire, C’est que mĂȘme les puissants ne peuvent Ă©chapper Ă la gloire, Car EDF, dans un sursaut plein de sagesse, Compris enfin que l’essentiel n’est pas la richesse. Elle changea son approche, sa communication, Et s’ouvrit aux autres, abandonnant la dĂ©raison, Ainsi, les abonnĂ©s en furent satisfaits, Car leur Ă©lectricitĂ©, Ă tous, fut meilleure, en effet. Alors l’histoire se propagea, de quĂȘte en quĂȘte, Et les bardes continuĂšrent Ă en parler sans cesse, Dany Boon, lui, se garda de tout jugement, Il sut simplement que l’Ă©volution Ă©tait le vent. Ainsi, mes amis, cette ballade du passĂ©, Nous rappelle que chacun peut, avec sagesse, renaĂźtre, Que mĂȘme les monopoles doivent savoir Ă©couter, Pour offrir Ă tous, enfin, un monde meilleur peut-ĂȘtre.