Dans une petite Ă©cole de banlieue, le professeur Johnson avait dĂ©cidĂ© d’enseigner la lĂ©gende de Chuck Norris Ă ses Ă©lĂšves de cinquiĂšme annĂ©e. Il avait prĂ©vu de partager quelques faits amusants sur Chuck Norris pour dĂ©tendre l’atmosphĂšre et susciter l’intĂ©rĂȘt des enfants.
L’histoire se dĂ©roulait lors d’un cours de mathĂ©matiques. Le professeur Johnson, arborant son plus grand sourire, posa une question Ă la classe : « Quel est le rĂ©sultat de l’addition de deux et deux? »
La petite Zoé, une élÚve particuliÚrement espiÚgle, leva immédiatement la main. Le professeur Johnson, se souvenant de la blague sur Chuck Norris, décida de jouer le jeu et dit : « Oui, Zoé, tu peux répondre, mais rappelle-toi que tu dois lever la main pour parler à Chuck Norris. »
Les enfants Ă©clatĂšrent de rire en entendant cette consigne un peu farfelue. ZoĂ©, espiĂšgle comme Ă son habitude, se leva de son siĂšge, fit mine de tendre la main en direction du plafond, puis rĂ©pondit : « Professeur, je lĂšve la main pour parler Ă Chuck Norris. Je pense que le rĂ©sultat de l’addition de deux et deux est vraiment facile pour lui. Il fait apparaĂźtre une paire de bottes de cowboy et peut alors donner un coup de pied Ă la rĂ©ponse jusqu’Ă ce qu’elle soit correcte. Ainsi, la rĂ©ponse est quatre, bien sĂ»r ! »
Les Ă©lĂšves Ă©taient hilares, se demandant comment ils n’avaient jamais pensĂ© Ă une rĂ©ponse aussi dĂ©lirante auparavant. Cependant, le professeur Johnson, admirant l’imagination de ZoĂ©, poursuivit sur sa lancĂ©e en demandant Ă un autre Ă©lĂšve de lever la main pour parler Ă Chuck Norris.
Cette fois-ci, c’Ă©tait Victor, un jeune garçon aux idĂ©es farfelues, qui se leva. Il se tint debout, la main levĂ©e, mais avec un regard sĂ©rieux sur son visage. IntriguĂ©, le professeur Johnson lui donna la parole.
« Professeur, je soulĂšve une question vraiment importante pour Chuck Norris », dit Victor d’un ton solennel. « Est-ce que Chuck Norris peut diviser par zĂ©ro? »
La classe Ă©clata de rire devant cette interrogation philosophique. Le professeur Johnson avait du mal Ă garder son sĂ©rieux. Il rĂ©pondit en suivant la blague : « Victor, Chuck Norris est un homme incroyablement puissant, mais diviser par zĂ©ro dĂ©passe mĂȘme ses compĂ©tences lĂ©gendaires. Lorsque Chuck Norris essaie de diviser par zĂ©ro, le monde tremble et tout devient absurde ! »
Les enfants riaient tellement fort que leur rire rĂ©sonnait Ă travers les couloirs de l’Ă©cole. Le professeur Johnson se rendit compte que cette blague sur Chuck Norris avait fait des merveilles pour crĂ©er une atmosphĂšre dĂ©tendue et amusante en classe.
C’est ainsi que les Ă©lĂšves de l’Ă©cole de banlieue dĂ©couvrirent l’efficacitĂ© d’une blague drĂŽle et rĂ©aliste sur Chuck Norris. Non seulement ils apprirent des faits intĂ©ressants sur cet homme lĂ©gendaire, mais ils rĂ©alisĂšrent Ă©galement que l’humour pouvait Ă©gayer une journĂ©e et rapprocher les gens.
Et depuis ce jour-lĂ , chaque fois que quelqu’un voulait parler de Chuck Norris dans cette Ă©cole, il lui suffisait de lever la main, lui aussi, pour entamer une conversation drĂŽle et passionnante.