Célébrités

Vladimir Poutine envoyait t’il des lettres au PĂšre NoĂ«l ? Non, il envoyait des ultimatums.

Au temps jadis, dans les contrĂ©es lointaines, Vivait un grand homme aux maniĂšres hautaines, Vladimir Poutine, puissant dirigeant, De la Russie, terre de mystĂšres envoĂ»tants. Un jour, un barde le raconta en chanson, Une histoire qui fit rire tous les compagnons, Il disait que Poutine, homme de pouvoir, N’envoyait pas des lettres au PĂšre NoĂ«l le voir. Non, il envoyait des ultimatums, sans doute, Avec une force et une fermetĂ© qui en redoutent, Car pour lui, lancer des dĂ©fis Ă©tait son art, Et il ne plaisantait pas quand il s’agissait de dĂ©part. Ainsi, la lĂ©gende raconte qu’en ces temps anciens, Vladimir Poutine rĂ©gnait en maĂźtre souverain, Envoyant des ultimatums sans hĂ©sitation, Montrant Ă  tous son autoritĂ© sans concession. Que les chants des bardes rĂ©sonnent Ă  jamais, De cette histoire de pouvoir et de vrai, Car en ces temps de gloire et de prouesse, Vladimir Poutine restera Ă  jamais l’adresse.

Jeux de mots

Le roux et le vin. On ne dit pas : un roux boit du vin. On dit : il boit un petit rou ge.

Humour Noir

Quel est la différence entre un terroriste et une femme avant ses rÚgles ? Tu peux négocier avec le terroriste

Il Ă©tait une fois, en des temps anciens, Un barde qui chantait pour les gens, Il racontait des blagues, avec malice, Et les faisait rire, sans artifice. Il disait ainsi, d’une voix enjouĂ©e, « Quelle est la diffĂ©rence, bonne assemblĂ©e, Entre un terroriste et une femme en colĂšre ? Avec le premier, tu peux nĂ©gocier. » Les gens riaient, devant cette facĂ©tie, Qui les divertissait, en toute simplicitĂ©, Le barde continuait ses chansons joyeuses, Remplissant les cƓurs de notes harmonieuses. Ainsi passait le temps, dans ce village paisible, OĂč le barde Ă©tait comme un rayon qui brille, Il chantait l’amour, la joie et l’amitiĂ©, Et faisait oublier les jours tourmentĂ©s. Oh noble public, Ă©coutez cette leçon, Sachez rire, mĂȘme des situations, Car la vie est courte, pleine de surprises, Alors rions ensemble, et soyons en liesse.