Jeux de mots

Passer le bac, c’est comme faire la lessive. On mouille, on sĂšche, et on repasse.

Il Ă©tait une fois une adolescente nommĂ©e Julie qui Ă©tait sur le point de passer son bac. Comme la plupart des Ă©lĂšves, elle Ă©tait stressĂ©e et anxieuse Ă  l’idĂ©e de devoir rĂ©ussir cette Ă©preuve cruciale. Sa mĂšre, pour la rassurer, lui dit avec humour : « Passer le bac, c’est comme faire la lessive. On mouille, on sĂšche, et on repasse ! » Julie Ă©clata de rire en imaginant sa robe de bacheliĂšre passer Ă  la machine Ă  laver. Le jour de l’examen arriva et Julie essaya tant bien que mal de garder son calme. Les Ă©preuves Ă©taient difficiles mais elle fit de son mieux pour y rĂ©pondre. Une fois les Ă©preuves terminĂ©es, elle rentra chez elle et attendit avec impatience les rĂ©sultats. Lorsque le jour fatidique arriva, Julie tremblait de peur en ouvrant l’enveloppe. Et lĂ , miracle, elle avait rĂ©ussi son bac avec mention ! Sa mĂšre Ă©tait tellement fiĂšre d’elle qu’elle l’enlaça en disant : « Tu vois, il suffisait juste de mouiller, sĂ©cher et repasser ! » Julie Ă©clata de rire en se remĂ©morant la blague de sa mĂšre. Cette journĂ©e resterait gravĂ©e dans sa mĂ©moire comme un moment de joie et de fiertĂ©. Et dĂ©sormais, Ă  chaque fois qu’elle ferait sa lessive, elle penserait Ă  son bac et se dirait que finalement, les Ă©preuves de la vie se surmontent avec un peu d’humour et de dĂ©termination.

Monsieur et Madame

Monsieur et Madame Douiche. M. et Mme Douiche ont un fils. Comment s’appelle t il ? – Vincent (vingt sandwiches).

Il y a bien longtemps, dans un village lointain, une blague circulait de gĂ©nĂ©ration en gĂ©nĂ©ration, transmise comme un prĂ©cieux hĂ©ritage. Cette lĂ©gende racontait l’histoire de Monsieur et Madame Douiche, un couple tout ce qu’il y a de plus ordinaire. Ils avaient un fils, un garçon espiĂšgle et plein de vie. Mais ce qui rendait ce fils si spĂ©cial, c’Ă©tait son nom : Vincent. Vincent, un prĂ©nom banal Ă  premiĂšre vue, cachait en rĂ©alitĂ© un jeu de mots savamment orchestrĂ©. En effet, lorsque l’on entendait son nom prononcĂ© Ă  haute voix, on pouvait comprendre qu’il se transformait en « vingt sandwiches ». Cette rĂ©vĂ©lation Ă©tait Ă  la fois source de rires et de moqueries, faisant de Vincent le sujet de plaisanteries incessantes. MalgrĂ© les taquineries incessantes, Vincent Ă©tait un jeune garçon fier de son nom et de son hĂ©ritage familial. Il arborait son patronyme avec fiertĂ©, comme un emblĂšme de sa famille. Ainsi, la lĂ©gende de Monsieur et Madame Douiche et de leur fils Vincent continuait de hanter les esprits, laissant derriĂšre elle un Ă©cho de rires et de mystĂšre. À chaque fois que l’on prononçait le nom de Vincent, on se remĂ©morait cette histoire pleine de malice et de lĂ©gĂšretĂ©.

Célébrités

Dany Boon – le pittbull. Il me faisait tellement peur ce pitbull que lorsque je le descendais c’est moi qui pissait.

Lorsque je suis arrivĂ© chez mon ami Dany Boon pour le dĂźner, j’ai Ă©tĂ© accueilli par un bruit sourd et des aboiements effrayants. En entrant dans sa maison, j’ai Ă©tĂ© accueilli par un Ă©norme pitbull qui semblait prĂȘt Ă  me dĂ©vorer. Dany Boon a ri en voyant mon expression de terreur et m’a assurĂ© que son chien, malgrĂ© son apparence intimidante, Ă©tait en fait trĂšs amical. Mais chaque fois que le chien s’approchait de moi, je ne pouvais m’empĂȘcher de trembler de peur. Pendant le repas, le pitbull n’a pas quittĂ© mon cĂŽtĂ©, me fixant avec ses yeux perçants. À un moment donnĂ©, j’Ă©tais tellement nerveux que lorsque je me suis levĂ© pour aller aux toilettes, j’ai involontairement fait pipi dans mon pantalon. Dany Boon et les autres invitĂ©s ont Ă©clatĂ© de rire en me voyant revenir, complĂštement embarrassĂ©. Mais malgrĂ© cette situation gĂȘnante, j’ai finalement rĂ©alisĂ© que le pitbull de Dany Boon n’Ă©tait pas si effrayant que ça. En fait, il avait juste un visage un peu intimidant mais au fond, c’Ă©tait un vrai gentil toutou. À partir de ce moment-lĂ , j’ai appris Ă  ne plus juger un livre par sa couverture, ou devrais-je dire, un chien par son apparence.