Maman, est-ce que tu m’aimes ? Au vu du prix auquel je t’ai achetĂ©, y a intĂ©rĂȘt !
– Heinrich : Tu as vu l’histoire de cette mĂšre qui a rĂ©pondu Ă son enfant « Au vu du prix auquel je t’ai achetĂ©, y a intĂ©rĂȘt ! » quand il lui a demandĂ© si elle l’aimait ? – Ingrid : Ahaha, c’est tellement drĂŽle ! J’imagine le regard interloquĂ© de l’enfant. Mais bon, on sait tous que l’amour n’a pas de prix, n’est-ce pas ? – Heinrich : Bien sĂ»r, mais parfois une petite pointe d’humour ne fait pas de mal. Et puis, ça rappelle Ă quel point les enfants peuvent ĂȘtre des petites pestes parfois ! – Ingrid : Oh, crois-moi, je sais de quoi je parle. Mais bon, on les aime quand mĂȘme, hein ? – Heinrich : Bien sĂ»r, au vu du prix auquel on les a achetĂ©s, il vaut mieux !