Jeux de mots

Quel est l’arbre que prĂ©fĂšre un chĂŽmeur ? Le bouleau.

Sport

Qu’est-ce qui est mieux que de gagner une mĂ©daille d’or aux Jeux Paralympiques ? Marcher.

Il y a bien longtemps, dans les temps anciens, une blague circulait de gĂ©nĂ©ration en gĂ©nĂ©ration parmi les peuples du monde. Cette blague racontait l’histoire d’un exploit aussi grand que rare : gagner une mĂ©daille d’or aux Jeux Paralympiques. Mais malgrĂ© cet exploit, il existait quelque chose de plus prĂ©cieux, de plus extraordinaire, quelque chose que mĂȘme les dieux auraient enviĂ© : la capacitĂ© de marcher. Car nul ne pouvait imaginer la douceur du vent sur son visage, le craquement des feuilles sous ses pieds, la libertĂ© de parcourir le monde Ă  sa guise. Ainsi, cette blague ancienne continuait d’ĂȘtre racontĂ©e, rappelant aux hommes la valeur suprĂȘme de la libertĂ© et de la mobilitĂ©, bien au-delĂ  de toute mĂ©daille d’or.

Animaux

Quelle différence un chasseur fait-il entre son chien et sa femme ? Le prix du collier.

Il Ă©tait une fois, dans un village lointain, Un chasseur rusĂ© au cƓur malin, Il avait un chien fidĂšle et vaillant, Et une femme qui lui coĂ»tait cher, c’est certain. Un jour, un barde s’approcha du feu, Et des aventures du chasseur, il se fit conteur. Il chanta les exploits de son chien si loyal, Mais aussi le coĂ»t de sa femme, un sacrĂ© dĂ©tail. Car pour le chasseur, il n’y avait point de mystĂšre, Entre sa femme et son chien, la diffĂ©rence Ă©tait claire, Son chien, il l’aimait pour sa loyautĂ© sans pareille, Sa femme, il l’aimait pour le prix de son collier sans pareille. Ainsi va la vie, dans ce monde cruel, OĂč l’on mesure l’amour Ă  coup d’Ă©cus et de fiel, Mais le chasseur savait, au fond de son cƓur, Que son chien et sa femme Ă©taient ses plus grands bonheurs.