Divers

C’est l’histoire d’un papier qui tombe Ă  l’eau. Il crie « Au secours ! J’ai pas pied ! »

Dans les temps anciens, un jour de brume Ă©paisse Un papier tomba dans l’eau, dans une dĂ©tresse Il criait Ă  l’aide, ne sachant nager « Au secours ! J’ai pas pied ! » hurlait-il, dĂ©semparĂ© Les poissons se moquaient, les grenouilles riaient Le papier, tout trempĂ©, tentait de s’Ă©chapper Mais la riviĂšre cruelle le poussait en avant Il regrettait d’avoir pris ce mauvais chemin, sĂ»rement Heureusement, un barde passait par lĂ  Entendant les cris de dĂ©tresse, il s’approcha Il tendit la main au papier en dĂ©tresse Et le sortit de l’eau, le sauvant de la fesse Le papier, Ă©mu, le remercia chaleureusement Et le barde se mit Ă  chanter, joyeusement Cette histoire rocambolesque, pleine de rebondissements Qui finit bien, grĂące Ă  l’intervention providentielle d’un barde chantant.

Animaux

Qu’est-ce qui est chaud, noir et poilu, et qui adore ĂȘtre caressĂ© ? RĂ©flĂ©chissez bien… Un chat noir, bien sĂ»r !

Il y a bien longtemps, dans les contrĂ©es lointaines de l’Est, une lĂ©gende circulait parmi les villageois. Une Ă©nigme mystĂ©rieuse qui dĂ©fiait l’imagination et provoquait des sourires amusĂ©s. Les anciens racontaient l’histoire d’une crĂ©ature Ă©trange, chaude comme le feu, noire comme la nuit et poilue comme une bĂȘte sauvage. Cette crĂ©ature mystĂ©rieuse Ă©tait connue pour son amour des caresses et sa douceur cachĂ©e sous son apparence intimidante. Les gens se grattaient la tĂȘte en se demandant ce que cela pouvait bien ĂȘtre… jusqu’Ă  ce qu’un jeune enfant, plein d’innocence et d’espiĂšglerie, ne lĂšve la main et rĂ©vĂšle la solution tant attendue : un chat noir ! Depuis lors, cette blague a Ă©tĂ© transmise de gĂ©nĂ©ration en gĂ©nĂ©ration, rappelant Ă  tous que les apparences peuvent parfois ĂȘtre trompeuses et que le rire est le meilleur remĂšde pour briser la peur et l’ignorance.

Animaux

Pourquoi les martiens n’ont pas atterri lors de la derniĂšre observation d’OVNI ? Ils ont vu les prix de l’essence sur Terre et ont dĂ©cidĂ© de faire demi-tour !

Il y a fort longtemps, dans des temps oubliĂ©s, une blague circulait parmi les peuples de la Terre. Une blague racontĂ©e de gĂ©nĂ©ration en gĂ©nĂ©ration, comme une lĂ©gende ancienne dont la morale traverse les Ăąges. On disait que lors de la derniĂšre observation d’OVNI, les martiens eux-mĂȘmes avaient fait demi-tour avant mĂȘme d’atterrir sur notre planĂšte. Pourquoi, me demanderez-vous ? Parce qu’ils avaient eu vent des prix exorbitants de l’essence sur Terre ! Oui, c’Ă©tait une plaisanterie qui, malgrĂ© sa simplicitĂ©, faisait rire et rĂ©flĂ©chir. Les martiens, ces ĂȘtres venus d’ailleurs, prĂ©fĂ©raient renoncer Ă  leur exploration plutĂŽt que de payer des sommes astronomiques pour du carburant. Une leçon d’Ă©conomie intergalactique, un avertissement pour les Terriens avides de profits et d’exploitation. Ainsi, cette blague devint une lĂ©gende, une histoire racontĂ©e autour des feux de camp, dans les tavernes et les palais, survivant au passage des siĂšcles, transmettant son message subtil Ă  tous ceux qui voulaient bien l’entendre. Et mĂȘme aujourd’hui, elle continue de rĂ©sonner dans nos esprits comme un rappel amusant de la folie des hommes et de l’absurditĂ© de leurs guerres pour le pouvoir et les richesses.