Mes chers concitoyens, permettez-moi de conclure mon discours sur une note légère. Une énigme, si vous voulez. Réfléchissons ensemble à cette question existentielle : Celui qui m’achète ne s’en sert pas. Celui qui s’en sert ne me voit pas. Que suis-je ? La réponse, mes chers compatriotes, est un cercueil. Oui, un cercueil. Parfois, il est bon de se rappeler que l’humour peut être un remède face aux défis de la vie. Merci, et que Dieu bénisse notre nation.