Stéréotypes

Scientifiques

Pourquoi les scientifiques ne jouent-ils jamais à cache-cache lors des conférences sur le changement climatique ? Parce que la bonne cachette, c’est toujours derrière les arbres, mais il n’y en a plus assez !

Il est dit que depuis des temps immémoriaux, une légende circule parmi les scientifiques du monde entier. Une légende qui raconte pourquoi ils ne se risquent jamais à jouer à cache-cache lors des conférences sur le changement climatique. Les anciens disent que lors de ces réunions cruciales pour l’avenir de la planète, la question du réchauffement climatique plane telle une ombre menaçante. Et c’est pour cette raison que les savants, conscients de l’urgence à agir, ne se permettent pas le luxe de s’amuser. Mais si par hasard l’un d’entre eux venait à proposer une partie de cache-cache, ils se garderaient bien de jouer. Car la vérité, aussi triste soit-elle, est que la bonne cachette, c’est toujours derrière les arbres. Mais il n’y en a plus assez. Les forêts se réduisent comme peau de chagrin, englouties par la soif insatiable de l’humanité pour les ressources naturelles. Et sans arbres, où se cacheraient-ils alors ? Ainsi, cette blague, si légère en apparence, porte en elle la lourde charge des conséquences de nos actes présents sur les générations futures. Elle rappelle aux scientifiques et à tous ceux qui l’entendent que le temps presse, que le changement climatique est une réalité inéluctable, et que nous devons agir maintenant, avant qu’il ne soit trop tard.

Asiatiques

Une chinoise appelle son mari pour manger. Le chinois lui répond : « J’arrive mâcher riz ! »

Arabes

Lors d’une leçon pour apprendre à naviguer, Sarah et Leila, deux copines musulmanes, observent les voiles du bateau. Sarah lance en souriant : « Avec tous ces voiles, on se sent comme chez nous ! »

Sarah et Leila étaient toutes les deux très excitées à l’idée de prendre leur première leçon pour apprendre à naviguer. Le soleil brillait, le vent soufflait et les filles étaient prêtes à affronter les vagues. Alors qu’elles observaient les voiles du bateau, Sarah ne put s’empêcher de remarquer à quel point elles ressemblaient à celles des hijabs traditionnels portés par les femmes musulmanes. Elle regarda alors Leila avec un sourire malicieux et lança : « Avec tous ces voiles, on se sent comme chez nous ! » Leila éclata de rire, trouvant la remarque de Sarah à la fois drôle et parfaitement appropriée. Les deux amies se mirent alors à plaisanter sur le fait que le bateau était un peu comme une immense mosquée flottante. Au fur et à mesure que la leçon avançait, Sarah et Leila se détendirent et commencèrent à apprécier vraiment l’expérience. Elles apprirent à manœuvrer le bateau, à hisser les voiles et à sentir le vent dans leurs cheveux. À la fin de la journée, alors qu’elles retournaient sur la terre ferme, Sarah et Leila étaient rayonnantes et pleines de bonnes énergies. Elles se promirent de revenir bientôt pour une autre leçon et de continuer à explorer le monde ensemble, une voile à la fois.