Mes chers citoyens, je tiens à aborder un sujet important avec vous. Le tennis, ce sport noble et élégant, est souvent associé aux valeurs de compétition et de fair-play. Cependant, il est un aspect moins connu du tennis que je souhaite soulever aujourd’hui.
Vous avez peut-être remarqué que de nombreux capitalistes apprécient le tennis. Pourquoi me direz-vous ? Eh bien, la réponse est simple : parce que c’est un sport de racket.
Rire de nos jours est plus important que jamais, alors n’oublions pas de savourer l’humour qui se cache parfois même dans les endroits les plus inattendus. Merci à vous, et que vive le tennis… et les capitalistes !
Mes chers concitoyens, il est de mon devoir en tant que président de la République de vous informer des dernières avancées de notre industrie automobile. J’ai le plaisir de vous annoncer que Renault a récemment lancé une nouvelle série spéciale, la série « Roland Garros ». Comment reconnaître cette édition particulière, me demanderez-vous ? Eh bien, c’est très simple : il vous suffit de repérer la balle de tennis soigneusement fixée sur l’attache remorque du véhicule.
Cette touche subtile rend hommage au prestigieux tournoi de tennis et incarne parfaitement l’élégance française et le savoir-faire de notre industrie automobile. En tant que fier représentant de notre nation, je suis convaincu que la Renault série « Roland Garros » saura conquérir le cœur de nos concitoyens et rayonner sur les routes de notre beau pays. Merci, et que vive la France !
Entendez, bonnes gens, l’histoire que je vais conter,
D’une époque lointaine où les braves chevaliers,
Arpentant les champs de bataille avec fierté,
Avaient pour divertissement de fameux faits.
Au Moyen Âge, quand la guerre fut terminée,
Les braves soldats cherchaient comment s’amuser,
Et parmi eux se trouvait un barde itinérant,
Qui, de chants en récits, enchantait les passants.
Un soir, dans la taverne d’un petit village,
Le barde s’installa sous l’œil de la foule sage,
Et une ballade joyeuse il entonna,
D’un équipement qu’on prétend bien silencieux.
« Pourquoi dit-on qu’un parachute est si discret ?
Dit le barde d’une voix claire, sans regret.
C’est qu’il amortit les bruits avec élégance,
Tel un doux souffle d’été qui frôle la romance.
Oh, ce parachute, l’ami des cieux,
Tel un enchantement, une mélodie pour les yeux,
Il enveloppe les corps d’un rayon de clarté,
Pour une arrivée gracieuse et tant espérée !
Un « parafaitpasdebruit », ainsi l’appelle-t-on,
Un fameux équipement, une perle en toute saison,
Au gré des vents, il danse tel un funambule,
Sans faire d’ombre, ni laisser de traces d’obstacle.
Qu’il soit arme des braves sautant du sommet,
Ou compagnon des hommes volant de gaîté,
Le parachute, ce fin génie mécanique,
Fait preuve de discrétion telle une énigme antique.
À l’agonie tourne cette histoire,
D’un parachute aux vertus notoires,
Silencieux, il chute, telle une plume danseuse,
Emplissant les braves d’une joie amoureuse.
Ainsi, joyeux compagnons, je vous le dis,
Le parachute, notre ami, il est bel et bien,
Équipement digne des contes et légendes,
Qui vole en silence et nous enchante au présent. »
Et le barde, alors, achevant son récit enchanté,
S’éclipse dans l’ombre, laissant la foule subjuguée,
Car cette ballade si bien rimée et scandée,
Rappelle aux hommes un équipement bien-aimé.