Jeux de mots

Jeux de mots

Savez-vous pourquoi les Chinois ne perdent jamais le nord ? Parce qu’ils ont le sudoku (sud au cul).

Extrait du Manuel d’Utilisation du Robot Comique 3000 : Blague n°47 : Savez-vous pourquoi les Chinois ne perdent jamais le nord ? Parce qu’ils ont le sudoku (sud au cul). Instructions pour une exécution réussie : 1. Assurez-vous que l’auditoire est ouvert à l’humour et qu’il a une compréhension de base des jeux de mots. 2. Délivrez cette blague d’une voix claire avec une intonation légèrement amusante. 3. Gardez à l’esprit que cette blague peut être perçue comme un jeu de mots à connotation culturelle, veillez donc à ne pas offenser. 4. Soyez prêt à expliquer la notion de « sudoku » aux personnes qui ne la connaissent pas. Note : Le Robot Comique 3000 est programmé pour capturer les réactions de l’auditoire et ajuster son humour en conséquence. Cependant, veillez à utiliser cette blague avec parcimonie et respect pour les différentes cultures.

Jeux de mots

J’ai dit une blague sur le désert du Sahara, mais elle n’a pas plu.

Au temps jadis, dans les contrées lointaines, Un barde allait de village en domaine, Portant en son cœur des histoires à conter, Des chansons et des rires à partager. Un soir, près d’un feu dans un château fort, Le barde entama sa chanson d’or, Il narra les mondes et leurs mystères, Suscitant dans tous, sourires et lumières. « Ô noble auditoire, je vais vous raconter, Une blague qui saura vous enchanter, Elle parle d’un lieu, aride et sans fin, Le Sahara, où seule la soif est un festin. » Le barde commença sa fable éternelle, Dans le rythme des vers, à la rime belle, Il décrivait le désert, vaste et brûlant, Dans la chaleur du sable, impitoyable adamant. « Un voyageur, las et assoiffé, avance, Cherchant une oasis, au loin, une chance, Il erre depuis des jours, épuisé par le vent, Se plongeant dans l’illusion de mirages s’élevant. » Les hommes se mirent à l’écouter attentifs, Leurs yeux s’éclairèrent, curieux et vifs, Imaginant le désert dans leur esprit, Écoutant chaque rime, chaque mot précis. « Il finit par trouver un puits bien caché, L’eau si précieuse qui le fit frissonner, Mais à sa grande surprise, il y entendit, Un écho si lointain, une voix s’élever. » Le barde souriait, les yeux étincelants, Les rires du public s’élevaient triomphants, Car la blague tant attendue de cette scène, Faisait naître en chacun une joie sereine. « Dirigeant son regard vers le fond du puits, Le voyageur grava dans sa mémoire sans défi, Que jamais, au grand jamais, il ne faut oublier, Que même au Sahara, y’a toujours un Mar- »rhh »-tyrer. » Les rires éclatèrent, le barde triompha, Sa ballade si bien chantée, y trouva sa voie, Les échos des rires raisonnèrent au loin, Gagnant les confins de ce Moyen Âge si loin. Et depuis ce jour, dans les tavernes et les cours, Le barde chante sans relâche avec amour, Cette blague sur le désert brûlant et sans fin, Qui, au Moyen Âge, fit rire tous les humains.

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2 militaires discutent : Pourquoi tu t’es engagé ? Je suis célibataire et j’aime la guerre, et toi ? Je suis marié et je voulais avoir la paix.

Dans le monde ensorcelé, où des enchantements constants flottaient dans l’air, deux braves guerriers échangeaient des mots lors d’un moment de répit. L’un d’eux, les yeux étincelants d’une magie mystérieuse, posa la question : « Pourquoi t’es-tu engagé dans cette bataille, camarade ? » demanda-t-il. L’autre soldat, portant une armure solide et une épée forgée par un maître enchanteur, répliqua avec un sourire malicieux : « Je suis céli… célibataire et j’aime honorer mes ancêtres dans la guerre sans fin. Et toi, valeureux compagnon ? Pourquoi as-tu embrassé cette destinée guerrière ? » Le guerrier celibataire, laissant un sourire éclater sur son visage, répondit : « Je suis marié, cher ami, et je cherchais désespérément la paix. Quel meilleur moyen de trouver le calme éternel que dans le tourbillon chaotique d’une bataille sans fin ? » Soudain, le ciel s’assombrit et les étoiles s’alignèrent dans un motif étrange. Un éclair chargé de magie frappa les deux combattants, fusionnant leur destinée pour l’éternité. Leur sort fut scellé dans cette plaisanterie impétueuse. Dès lors, chaque jour de guerre, le guerrier marié était condamné à se retrouver aux côtés de son camarade célibataire. Leurs vies entrelacées dans une symphonie d’action constante. Mais voici la conséquence aussi imprévisible que magique de leur échange frivole : quand le célibataire montait au front, il connaissait une paix éphémère et reposante, trouvant refuge dans la mêlée. Pendant ce temps, le guerrier marié se retrouvait tourmenté et bruyant, sauvagement poussé au combat par une épouse toujours insatisfaite. Ainsi, les rôles s’inversèrent entre les deux guerriers, la guerre devenant paisible et réparatrice pour l’un, tandis que la paix se transformait en tumulte constant pour l’autre. Et ainsi, ces deux soldats, liés par une magie farceuse, poursuivirent leur existence conjointe, jamais libérés de l’ironie envoûtante d’une plaisanterie transformée en sort éternel.