Humour Noir

Humour Noir

Un blanc avec des ailes, c’est un ange. Mais qu’est-ce qu’un noir avec des ailes ? Une mouche

Au temps jadis, où les bardes chantaient, Une histoire atypique ils racontaient. Un blanc avec des ailes, c’est un ange léger, Mais quid d’un noir avec des ailes, moucheron maléfique. Par les champs et les prairies, cette bête volait, Dérangeant les humains, de sa taille minuscule. Petit mais agaçant, toujours en mouvement, Une nuisance infime, mais une menace constante. Les hommes se grattaient, les femmes s’éventaient, Contre ces petites créatures en colère. Ils priaient pour un miracle, pour les éloigner, Mais la mouche noire restait, à jamais persévérante. Alors, si vous croisez un noir aux ailes frétillantes, Méfiez-vous de sa malice incessante. Car une mouche peut être, plus embêtante qu’un ange, Et vous entraîner, dans un tourbillon étrange.

Humour Noir

Quand j’étais gamin, j’avais un ami noir. Jusqu’au jour où mon grand père l’a vendu.

Humour Noir

Qu’est-ce qu’un tétraplégique en train de nager ? Une planche de surf.

Au temps jadis, en ces temps de légende, Où troubadours chantaient sur chaque lande, Je vous conterai, en douce mélodie, Une blague qui fit tourner maintes têtes de folie. Au royaume des eaux, dans l’étendue bleue, Un barde joyeux, au verbe malicieux, Chanterait un récit qui soulève les sourires, Un récit qui fera frémir mille zéphyrs. Qu’est-ce qu’un tétraplégique en train de nager ? Demande-t-on au troubadour éthéré, D’une voix claire, portée par le vent, Il répond, avec rimes et rythme évidemment. Une planche de surf, telle est la réponse, Qui résonne en écho, lorsqu’il la prononce. Sur les flots agités, sans aucun mouvement, La planche dérive, paisible et bienveillante. Mais le barde sait doser ses mots, Pour ne pas blesser où il ne faut, Car dans le cœur du chevalier infirme, Gît un espoir, une lumière intense et ferme. Derrière ses mots, il y a un message, De tolérance, d’amour et de partage, Car en ces temps de courage et de bravoure, Même le rire peut panser tant de blessures. Alors, que les cœurs s’emplissent de gaieté, Que les rires résonnent à l’éternité, Car avec cette blague, telle une symphonie, Le barde médiéval fait danser l’harmonie.