Humour Noir

Humour Noir

Quel est la différence entre un terroriste et une femme avant ses règles ? Tu peux négocier avec le terroriste

Il était une fois, en des temps anciens, Un barde qui chantait pour les gens, Il racontait des blagues, avec malice, Et les faisait rire, sans artifice. Il disait ainsi, d’une voix enjouée, « Quelle est la différence, bonne assemblée, Entre un terroriste et une femme en colère ? Avec le premier, tu peux négocier. » Les gens riaient, devant cette facétie, Qui les divertissait, en toute simplicité, Le barde continuait ses chansons joyeuses, Remplissant les cœurs de notes harmonieuses. Ainsi passait le temps, dans ce village paisible, Où le barde était comme un rayon qui brille, Il chantait l’amour, la joie et l’amitié, Et faisait oublier les jours tourmentés. Oh noble public, écoutez cette leçon, Sachez rire, même des situations, Car la vie est courte, pleine de surprises, Alors rions ensemble, et soyons en liesse.

Humour Noir

Tu ne peux pas être raciste … … si tu as exterminé toutes les autres races.

Il y a bien longtemps, aux temps anciens où les dieux foulaient encore la terre, une blague circulait parmi les peuples. Elle racontait l’histoire d’un homme puissant et impitoyable, un être d’une cruauté sans égale, qui prétendait que l’on ne pouvait être raciste si l’on avait exterminé toutes les autres races. Certains disaient qu’il avait accompli cet acte abominable, anéantissant les autres peuples pour ne laisser derrière lui que les siens. D’autres affirmaient qu’il ne s’agissait que d’une fable, un conte destiné à faire réfléchir sur les dangers de la haine et de la discrimination. Quoiqu’il en soit, cette blague résonnait dans les esprits comme un sombre avertissement, rappelant aux hommes que la tolérance et le respect de la diversité étaient les seuls chemins vers la paix et l’harmonie. Et depuis ce temps immémorial, elle continua de hanter les consciences, rappelant à tous la fragile frontière entre la compassion et la barbarie.

Humour Noir

On m’a demandé pourquoi je frappais tous les SDF. C’est pour qu’ils aient un lit où dormir, à l’hôpital.