Par le pouvoir des Anciens, que cette baguette égarée retrouve son chemin! Qu’elle se métamorphose en un délicieux pain perdu, délectable et difficile à résister pour tous les aventuriers affamés qui croiseront son chemin!
Il était une fois un petit village de pêcheurs en bord de mer, où les habitants adoraient se retrouver au bar du coin pour partager un verre de Pastis. Un jour, un touriste curieux demanda au barman : « Quel est le point commun entre un verre de Pastis et un tsunami ? »
Le barman, un grand amateur de blagues, éclata de rire et répondit : « Plus il y a d’eau, moins il y a de jaune ! »
Les habitants du village se mirent à rire à leur tour, trouvant la blague aussi drôle qu’absurde. Mais le lendemain, une tempête se leva au large de la côte, et les habitants furent pris au dépourvu par un tsunami soudain qui déferla sur le village.
Alors que l’eau s’infiltrait dans les rues, le bar du coin fut submergé de liquide trouble, emportant avec lui tous les verres de Pastis.
Le petit village de pêcheurs se retrouva sous les eaux, mais les habitants gardèrent le sourire en repensant à la blague du barman. Car malgré la catastrophe, ils savaient que l’humour était souvent le meilleur remède pour affronter les épreuves de la vie. Et qui sait, peut-être qu’un jour, ils pourraient de nouveau trinquer ensemble autour d’un verre de Pastis, en se remémorant cette histoire drôle et un peu absurde.
Mes chers concitoyens, permettez-moi de conclure ce discours présidentiel en évoquant une vérité profonde sur notre société. Le Ricard, c’est comme un tsunami. Plus il y a d’eau, moins il y a de jaune. Une réflexion profondément symbolique qui nous invite à méditer sur la nature éphémère des choses, mais aussi à ne jamais oublier d’apprécier la beauté de la vie. Merci, que Dieu bénisse la France.