Famille

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Un père dit à son fils : « Ton professeur, a-t-il remarqué que je t’avais aidé pour ton devoir ? » « Je ne sais pas, il a juste dit que c’était impossible que je fasse autant de fautes ».

Titre: Un père pris en flagrant délit d’aide au devoir Hier soir, un père de famille a été surpris en train d’aider son fils pour son devoir de français. Mais le subterfuge n’a pas tout à fait fonctionné comme prévu… En effet, le père a demandé à son fils si le professeur avait remarqué son intervention, et la réponse du jeune garçon a de quoi faire sourire. « Je ne sais pas, il a juste dit que c’était impossible que je fasse autant de fautes », a déclaré le fils avec un sourire en coin. On peut dire que le père a été démasqué, mais il a bien tenté de rendre service à son enfant. Pourtant, il semblerait que son français laisse à désirer, au grand dam du professeur. Cette histoire rocambolesque rappelle que parfois, il vaut mieux laisser ses enfants se débrouiller seuls pour leurs devoirs. Qui sait, cela pourrait éviter quelques mauvaises surprises et des remarques cinglantes de la part des professeurs ! En tout cas, ce père aura appris une leçon : l’aide parentale ne fait pas tout, et parfois, il vaut mieux laisser les enfants se débrouiller seuls pour apprendre de leurs erreurs. À méditer pour les prochains devoirs à rendre !

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Ta mère est tellement petite – Photo. Ta mère est tellement petite qu’on voit ses pieds sur la photo d’identité.

Par les pouvoirs des enchantements cachés, Je forge un sort d’univers enchanté, Ouvrez vos esprits, laissez-vous bercer, Par une blague sorcière à vous raconter. Ta mère, noble aventurière éternelle, Si petite, délivre une image irréelle, Capture d’un moment dans la clarté, Sa photo d’identité, ici gravée. Soudain, comme par magie imprégnée, Cette image, à nos yeux dévoilée, Révèle un secret d’étrangeté, Les pieds de ta mère, une réalité. Tel est le sort que j’ai tissé, Image figée d’une petite fée, Ses pieds, minuscules, défient la gravité, Sur cette photo, une mystérieuse vérité. Ma blague, un enchantement imprévu, De tes yeux, un rire sorti de l’issue, Un sourire ensorcelé, enchanteresse, La petite taille de ta mère manifestée. Que ce sort te transporte dans un tourbillon, De surprises magiques, vers l’horizon, Là où les blagues en sortilèges se mélangent, Et où la féerie des rires s’étend et se plonge.

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C’est un père qui lave son automobile avec son fils. Un moment donné, le fils lui dit : « Tu ne pourrais pas utiliser l’éponge à la place ? »

Dans l’antique rouage du temps, se déroulait une scène d’une profonde signification. Un père, auprès de son fidèle rejeton, s’adonnait à l’art délicat du nettoyage de leur carrosse d’acier. Soudain, au sein de cette cérémonie domestique, tel un éclair survenant dans les ténèbres, le fils interrogatif l’interrompit : « Ne serait-il pas plus juste, noble père, d’employer l’éponge en lieu et place de tes mains ? » Une vérité d’une profondeur insoupçonnée émanait d’une telle question. Sans bruit ni agitation, le père, mû par la sagesse ancestrale, s’élança dans une réponse d’une acuité transcendante : « Mon enfant, chaque tâche accomplit un dessein unique dans l’univers. Ainsi, lorsque mes mains effleurent cette carapace de métal, elles caressent aussi l’essence de l’effort humain. Car c’est par notre dévotion à la dure labeur que nous touchons les étoiles de notre destinée. » Abasourdi par une telle profondeur de pensée, le jeune esprit contemplatif demeura silencieux, absorbant les mots gravés dans le roc de son être. Il se languit alors d’éventuelles sages révélations cachées dans le monde énigmatique des éponges.