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La belle-mère et les cannibales. Deux cannibales discutent : – J’aime pas du tout, mais du tout ma belle-mère. – Ouais ben mais mange au moins les carottes .

Titre : Deux cannibales reprennent la recette de la Belle-Mère aux carottes Dans une jungle lointaine peuplée de cannibales, deux amis discutent de leurs habitudes alimentaires peu conventionnelles. Alors qu’ils échafaudent des plans pour leur prochain festin, la conversation dérive vers des sujets plus personnels. – J’aime pas du tout, vraiment pas ma belle-mère, lance le premier cannibale d’un ton contrarié. Son compagnon, devant tant de sincérité, décide de lui apporter un brin de réconfort : – Ouais, je comprends totalement. Les belles-mères ont ce don unique de nous exaspérer. Mais écoute, même si tu ne peux pas la supporter, tu devrais au moins songer à manger les carottes qu’elle met dans le plat, elles sont bonnes pour la santé. Le premier cannibale écarquille les yeux, surpris par la proposition inattendue de son ami. – Manger les carottes de ma belle-mère ? Mais pourquoi donc ? Le sourire malicieux aux lèvres, son ami explique : – Eh bien, imagine un instant. Si nous réunissons toutes les belles-mères de la jungle et leur demandons de cuisiner leurs plats les plus délicieux, elles utiliseront forcément des carottes. Tu te rends compte ? Nous pourrions organiser la plus grande fête jamais vue dans l’histoire des cannibales ! La Fête des Carottes, tu te rends compte ? À cette idée folle, les deux cannibales se mettent à rire aux éclats. Ils imaginent déjà la marmitée de plats délicieux préparés par les belles-mères – des recettes transmises depuis des générations. – On pourrait y ajouter des pommes de terre, des petits pois, peut-être même des brocolis, s’exclame le premier cannibale, de plus en plus enthousiaste. Soudain, une idée audacieuse leur traverse l’esprit. – Et si on invitait nos belles-mères à la fête ? On pourrait leur montrer notre amour d’une manière unique ! Les deux cannibales échangent un regard complice. L’idée est audacieuse, certes, mais elle pourrait être la solution idéale pour améliorer leurs relations avec leurs belles-mères tout en satisfaisant leurs papilles gustatives. Oui, c’est une excellente idée ! s’exclame le second cannibale. Elles pourraient nous montrer comment elles préparent leurs plats, nous pourrions apprendre de nouvelles recettes, et en retour, nous leur offririons une place d’honneur à la fête. Exactement ! ajoute le premier cannibale. Nous pourrions même leur offrir des cadeaux en signe de gratitude. Peut-être des bijoux ou des vêtements traditionnels de la jungle. La perspective de la Fête des Carottes les excite tant qu’ils commencent immédiatement à planifier les détails. Ils imaginent une grande table remplie de délicieux plats, des boissons exotiques, des danses traditionnelles et des chants pour célébrer l’occasion. Nous pourrions même inviter d’autres tribus de la jungle, suggère le premier cannibale. Cela pourrait être une occasion de renforcer nos liens avec nos voisins. Le second cannibale hoche la tête en signe d’approbation. Oui, et imagine toutes les nouvelles recettes que nous pourrions découvrir ! Les possibilités sont infinies. La vision de cette fête grandiose les remplit d’espoir et d’enthousiasme. Ils décident de mettre leur plan à exécution et de commencer les préparatifs pour la Fête des Carottes. Et ainsi, dans cette jungle lointaine, deux cannibales ont trouvé une manière unique d’exprimer leur amour et leur gratitude envers leurs belles-mères, tout en perpétuant leurs traditions culinaires.

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Une fille et son petit frère. Une fille demande à sa mère : – Est ce que mon petit frère est un ange ? – Oui ma chérie. – Alors pourquoi ne s’est-il pas envolé quand je l’ai jeté par la fenêtre la dernière fois ?

Il était une fois une petite fille espiègle nommée Léa, qui avait un petit frère prénommé Lucas. Lucas était un bébé tout mignon avec des boucles d’or sur la tête, mais Léa avait toujours des doutes sur sa nature céleste. Un jour, alors que leur maman préparait le déjeuner dans la cuisine, Léa s’approcha d’elle avec une expression curieuse sur le visage. Elle lui posa alors une question qui avait le potentiel de laisser la maman sans voix. – Maman, est-ce que mon petit frère est un ange ? demanda Léa, les yeux pétillants d’excitation. La maman sourit doucement et répondit : « Bien sûr, ma chérie, ton petit frère est un ange. » En entendant cela, Léa ne put s’empêcher de sourire avec joie. Elle avait déjà un plan délirant en tête pour prouver à tout le monde que ce bébé potelé était bel et bien un ange. Le lendemain matin, alors que tout le monde dormait encore, Léa sortit discrètement de sa chambre. Elle avait un grand sac à dos dans lequel elle avait soigneusement emballé Lucas. Sa mission était simple : prouver que son petit frère était un ange en le lançant par la fenêtre pour vérifier s’il allait s’envoler. Avec une détermination sans faille, Léa se rendit dans la chambre de Lucas et le souleva délicatement dans ses bras. Elle ouvrit doucement la fenêtre, un sourire malicieux sur le visage. Puis, elle prit une grande respiration et… « BOING ! » Au moment où Léa s’apprêtait à jeter Lucas, elle entendit un bruit étonnant provenant de l’extérieur. Elle se tourna vivement vers la fenêtre pour voir ce qui se passait. Et devinez quoi ? Un trampoline ! Un voisin avait installé un trampoline juste en dessous de la fenêtre pendant la nuit. Lucas atterrit doucement sur le trampoline, rebondissant joyeusement sans se douter une seconde de ce qui s’était passé. Léa était sans voix. Elle venait de réaliser que son petit frère n’était peut-être pas un ange, mais qu’il avait toute la chance du monde. Le voisin, qui avait été réveillé par le bruit, appela la maman de Léa pour lui expliquer ce qui s’était passé. Bien sûr, la maman ne put s’empêcher de rire de la situation rocambolesque. Depuis ce jour, Léa ne doute plus de la nature de son petit frère. Elle a appris que même s’il n’est pas un ange capable de voler, il est quand même un petit miracle avec sa chance insolente. Et chaque fois qu’elle regarde Lucas rebondir sur le trampoline, elle ne peut s’empêcher de rire en pensant à cette journée mémorable où elle a essayé de faire voler son petit frère.

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Le gynécologue et la poubelle. Comment appelle-t-on un fouilleur de poubelle professionnel ? Un gynécologue.

Jean: Hé Luc, tu connais la dernière ? Tu sais comment on appelle un fouilleur de poubelle professionnel ? Luc: Non, pas du tout. Comment on l’appelle ? Jean: Un gynécologue ! Luc: Ahaha, c’est vrai qu’ils ont le coup de main pour chercher des trésors cachés dans les endroits les plus inattendus ! Jean: Exactement ! Ils passent leur temps à fouiller, que ce soit dans les poubelles ou dans les parties intimes des femmes. C’est sûr, ils ont le sens de l’exploration ! Luc: Haha, et je suppose qu’ils doivent tous utiliser des gants et des pinces pour ne pas se salir les mains ? Jean: Oh oui, c’est clair ! Ils ont développé une technique précise pour fouiller sans laisser de traces. Les gynécologues, les rois de la délicatesse ! Luc: Mais imagine s’ils se trompent de job et se retrouvent à fouiller les mauvaises poubelles… Ce serait une sacrée surprise pour eux ! Jean: Ahaha, à coup sûr ! Ils devraient certainement faire un stage dans une décharge pour s’entraîner au préalable. Car fouiller des ordures, ça ne s’improvise pas ! Luc: C’est clair. En tout cas, je suis content de ne pas être gynécologue à temps partiel, moi. Je préfère laisser ce travail à des professionnels ! Jean: Oh oui, on n’est pas tous faits pour fouiller des poubelles toute la journée. Mais avoue quand même que cette blague est plutôt originale ! Luc: Absolument, elle sort de l’ordinaire ! J’espère juste que les gynécologues ne l’entendront pas, sinon ils risquent de nous prendre pour des fous ! Jean: Haha, c’est bien possible ! Mais bon, au moins, ça nous aura permis de rire un peu et de voir les gynécologues sous un autre angle ! Luc: Tout à fait. Allez, on en reste là avec nos blagues surprenantes. Sinon, on risque d’être blacklistés chez tous les cabinets médicaux ! Jean: Haha, tu as raison. On garde ça entre nous. Cheers, mon ami, et vive les gynécologues de poubelle ! Luc: Cheers ! Vive les gynécologues et leurs talents de chercheurs de trésors !