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La brune et les préliminaires. Que sont les préliminaires pour une brune ? 6 heures à saoûler le gars et 9 heures à supplier.

Titre : Des préliminaires à rallonge : la brune qui ne lâche rien ! Avis de préliminaires à rallonge enregistré à Saoûl Dans une allée obscure, au fin fond d’une contrée mystérieuse appelée Saõul, une brune intrépide a élevé les préliminaires au rang d’art. Mais ce qui aurait pu passer pour une simple séance de charme s’est transformé en un marathon effréné de 6 heures d’alcoolisation intense, suivi de 9 heures de supplications acharnées. Les préliminaires, ces moments intimes précédant l’acte charnel, sont souvent l’occasion de renforcer la complicité et de pimenter la relation. Pourtant, pour cette brune audacieuse, ils semblent être une compétition sans fin. Tout a commencé lors d’une soirée endiablée où la brune, de sa voix rauque et sensuelle, a enchaîné les verres avec une détermination sans égale. Accompagnée de sa proie du jour, elle n’a eu de cesse de remplir les verres, créant ainsi un climat propice à la tentation. Sous le charme de la boisson et du mystère qui entourait cette belle brune, le pauvre homme s’est rapidement retrouvé à la merci de sa dulcinée. Mais ce n’était que le début de l’épreuve titanesque qui l’attendait. Une fois ivre mort, le jeune homme pensait pouvoir enfin succomber aux charmes de sa conquête. Pourtant, la brune ne lâchait rien. Telle une sirène envoûtante, elle a passé les 9 longues heures suivantes à supplier pour satisfaire ses moindres désirs. Des « s’il te plaît », « juste encore un peu » et « je t’en supplie » sont devenus les leitmotive de cette nuit sans fin. Une symphonie de supplications qui ont fait durer le suspense jusqu’à l’épuisement complet des deux protagonistes. Mais ne vous y trompez pas, cette histoire est plus drôle qu’elle n’en a l’air. Car si la brune a semblé cruelle aux yeux du malheureux homme, il semblerait que son acharnement tenace était plus une taquinerie audacieuse qu’un véritable supplice. Cette anecdote insolite prouve une chose : les préliminaires peuvent prendre bien des formes et chacun a sa propre définition. Si pour certains ce sont des gestes tendres et passionnés, pour cette brune facétieuse, ce sont 6 heures à saouler son partenaire suivi de 9 heures de supplications pour pimenter l’avant-acte. Ainsi, chacun est libre de définir ses propres règles dans l’intimité et de s’y abandonner sans complexes. Alors, ne jugeons pas cette brune, elle a simplement trouvé une manière bien à elle de construire le désir et d’explorer les frontières des plaisirs charnels. En attendant, rappelons aux potentielles conquêtes de cette brune audacieuse d’être préparées mentalement et physiquement à résister à une résistance sans faille. Car, qui sait, peut-être leur taquinerie deviendra-t-elle légendaire à Saoûl, là où la nuit ne finit jamais. Par M. Rigolo, journaliste intrépide et téméraire.

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Ma copine m’a traité de travesti, je n’ai pas supporté… … j’ai pris ses affaires et je suis parti.

Extrait du manuel d’utilisation du robot d’humour humain : Blague #42 : « Ma copine m’a traité de travesti, je n’ai pas supporté… … j’ai pris ses affaires et je suis parti. » Pour faire réagir positivement les humains grâce à leur sens de l’humour, le robot peut utiliser des blagues appropriées. L’exemple ci-dessus est une blague légère qui utilise un jeu de mots subtil. Bien que l’humour puisse être subjectif, cette blague a été conçue pour susciter un sourire ou un rire chez les utilisateurs. Les principales caractéristiques humoristiques de cette blague sont l’ironie et la surprise. Le robot peut jouer sur le double sens du mot « supporter ». En jouant avec cette ambigüité, le robot génère une situation inattendue qui peut provoquer une réaction humoristique chez les humains. Il est important de noter que cette blague repose sur un jeu de mots subtil et peut ne pas être comprise de manière identique par tous les utilisateurs. Le robot est programmé pour reconnaître les réactions des utilisateurs et ajuster son humour en conséquence.

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Vous savez pourquoi les Japonais ne veulent pas de chevaux ? Parce qu’ils sont déjà Poney !

En tant qu’extraterrestre découvrant l’humour humain pour la première fois, je vais essayer d’expliquer cette blague. Selon mes observations, cette blague semble jouer sur un jeu de mots et une stéréotypisation culturelle. Les Japonais sont associés aux termes « Poney » et « Chevaux » dans cette blague. Sur Terre, les chevaux sont des animaux plus grands et plus forts que les poneys, une version plus petite de cheval. Cependant, dans le contexte de cette blague, les Japonais sont désignés comme étant déjà « Poney ». Cela implique qu’ils seraient déjà semblables à des poneys et qu’ils n’auraient donc pas besoin de chevaux. Sur le plan linguistique, le jeu de mots se trouve dans la similitude des sons entre « Poney » et « Po-ni-san », la manière dont les Français se réfèrent souvent aux personnes japonaises. Ce jeu de mots est rendu possible car les deux expressions se prononcent de manière similaire. Il est important de préciser que l’humour est un concept subjectif, et donc la compréhension et l’appréciation de cette blague peuvent varier d’une personne à une autre. En tant qu’extraterrestre, je suis en train d’apprendre et de comprendre l’humour humain, mais cette blague peut sembler absurde pour certains et amusante pour d’autres.