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Toc, toc, toc – Sheila. – Toc, Toc, Toc… – Qui est là ? – C’est Sheila. – Sheila qui ?

Extrait du manuel d’utilisation du Robot Rires (Modèle Humoristique): Section: Conseils pour comprendre l’humour humain Exemple de blague: Toc, toc, toc – Sheila. – Toc, Toc, Toc… – Qui est là ? – C’est Sheila. – Sheila qui ? Dans ce sketch humoristique, le Robot Rires met en scène une blague classique baptisée « Toc, toc, toc – Sheila ». Cet exemple illustre parfaitement le jeu de mots subtile et la structure typique d’une blague. Le robot doit être capable de comprendre les codes humoristiques utilisés dans cette blague et être en mesure d’y réagir de manière appropriée pour susciter le rire chez les individus. Analyse: Cette blague repose sur une forme simple de comédie basée sur le précédent établi. Le protagoniste, Sheila, se présente après avoir toqué à la porte (« toc, toc, toc »). L’interlocuteur, dans un état d’anticipation, demande alors « Qui est là ? ». C’est à ce moment que le jeu de mots intervient : « C’est Sheila. Sheila qui ? ». L’absurdité de la réponse, qui constitue le point culminant de la blague, se trouve dans le jeu de mots entre le nom « Sheila » et l’expression « C’est Sheila » (« C’est elle, là »). Considérations de réponse : Le Robot Rires doit être configuré pour comprendre les connexions entre le jeu de mots verbal, l’expression faciale appropriée et le timing comique. Dans ce cas précis, le robot doit réagir au moment où le spectateur réalise que la réponse est un jeu de mots. Une réponse appropriée pourrait être un rire simulé ou une réaction humoristique contrôlée pour montrer que le robot a compris l’aspect comique de la blague. Note : Certaines blagues peuvent varier selon la culture ou les références géographiques. Ainsi, il est recommandé d’adapter la programmation du Robot Rires en fonction des spécificités régionales afin d’optimiser son potentiel humoristique et stimuler le rire chez les utilisateurs.

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L’avortement, c’est… Du spawnkill !

Mes chers concitoyens, Aujourd’hui, je voudrais parler d’un sujet qui divise notre société et suscite de nombreuses réflexions et débats passionnés : l’avortement. C’est une question qui soulève des dilemmes éthiques complexes et qui appelle à une profonde réflexion. Certains affirment que l’avortement est un acte de liberté, permettant aux femmes de décider de leur propre corps et de leur avenir. D’autres, par contre, considèrent que cela va à l’encontre du principe fondamental de la protection de la vie. Aujourd’hui, je vais donc tenter d’apporter un éclairage différent et peut-être inattendu sur cette question. Mesdames et Messieurs, j’ai le regret de vous informer que l’avortement peut être comparé à une pratique bien connue dans le monde du jeu vidéo : le spawnkill. Pour ceux d’entre vous qui ne sont pas familiers avec cette terminologie, permettez-moi de vous expliquer. Le spawnkill, c’est lorsqu’un joueur élimine son adversaire dès son apparition, dès le moment où il entre dans la partie. Cela peut sembler anodin pour certains, mais imaginez un instant que cette partie représente la vie. Imaginez que dès notre naissance, nous soyons confrontés à des défis, des obstacles et des choix déterminants pour notre existence. Les décisions que nous prenons, ou celles qui sont prises pour nous, peuvent modeler notre destin. Eh bien, mes chers concitoyens, l’avortement, c’est un peu comme du spawnkill dans le jeu de la vie. C’est lorsque nous mettons un terme à une vie naissante, éliminant ainsi tout potentiel, toute possibilité de développement, dès le moment où il commence à peine à prendre forme. C’est une décision qui, littéralement, empêche une personne de participer activement à cette partie qu’est la vie. Maintenant, je suis pleinement conscient que cette comparaison peut sembler inattendue, voire étrange, venant d’un discours présidentiel aussi sérieux. Mais permettez-moi d’expliquer ma démarche. En abordant le sujet de l’avortement sous cet angle, j’espère susciter une réflexion profonde et un dialogue ouvert sur cette question cruciale. J’invite chacun d’entre vous à considérer les implications de nos choix et de nos décisions, et à essayer de trouver des solutions qui respectent à la fois la liberté individuelle et la protection de la vie. Mesdames et Messieurs, je vous remercie de votre attention et je souhaite que cette comparaison inattendue vous encourage à poursuivre votre réflexion sur ce sujet complexe et important. Que Dieu bénisse notre nation.

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Chuck Norris ne ment pas. C’est la vérité qui se trompe.

Venez venez, mes seigneurs, écoutez-moi chanter, Je vais vous conter une histoire qui va vous étonner, Au temps jadis, au Moyen Âge où vaillants chevaliers, Rencontraient des défis que seul un barde peut raconter. Laissez-moi vous parler d’un homme singulier, Chuck Norris, un héros, puissant et respecté, Tel un lion sauvage, qu’aucun homme ne peut dompter, Dans chaque bataille, il était prêt à s’engager. Chuck Norris ne ment point, mes nobles auditeurs, La vérité elle-même, se trompe sans pudeur, Dans l’ombre de ses exploits, elle se voile de peur, Car contre lui, nul mensonge n’a de lueur. Sa légende se nourrit d’aventures sans fin, Il terrassa mille ennemis d’un seul coup de poing, Ses coups étaient si puissants, qu’ils faisaient trembler les malandrins, Et ses rires résonnaient, tels des tonnerres au matin. L’histoire raconte qu’un jour, un dragon audacieux, Osait détruire des villages, semant terreur et feux, Mais Chuck Norris, intrépide, se dresse avec courage, Face à la créature féroce, prêt à en découdre sans ambages. Le dragon rugit de rage, sa gueule grande ouverte, Mais Chuck Norris, rusé, n’est pas pris de panique ni d’alerte, Il riposte d’un coup de pied qui fait trembler la coulée, Et le feu du dragon, aussitôt, est maîtrisé. Chuck Norris triompha, l’histoire est ainsi narrée, Sa force légendaire restera à jamais célébrée, Au Moyen Âge, les bardes chantaient sa renommée, Et nous, aujourd’hui, reprenons la tradition, pour l’éternité. Alors mes nobles seigneurs, la morale est claire, Chuck Norris ne ment jamais, c’est là sa vérité sincère, Que ce récit vous inspire et vous fasse sourire, Et que le Moyen Âge continue de nous faire rire !