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Coluche – L’horreur. L’horreur est humaine.

Mesdames et messieurs, aujourd’hui je voudrais aborder un sujet d’une gravité extrême, une réalité qui fait frémir l’âme et ébranle les fondements de notre humanité. Car, comme le disait si justement le regretté Coluche, « L’horreur est humaine. » Permettez-moi, un instant, de me départir de ma posture présidentielle, afin de vous délivrer un message bien plus léger, mais qui, ironiquement, révèle une vérité profonde sur nous, êtres humains. Comme une lueur d’espoir dans un océan de noirceur, une blague de l’inimitable Coluche s’impose. Permettez-moi de vous la présenter, dans toute sa simplicité : « Pourquoi les plongeurs plongent-ils toujours en arrière et jamais en avant ? Parce que sinon ils tombent dans le bateau ! » Pardonnez-moi un instant de détente dans cette atmosphère sérieuse. Mais n’est-ce pas là le reflet même de notre condition humaine ? Au-delà de nos peines et de nos tragédies, il y a la capacité de rire, de trouver du réconfort dans l’absurdité même de notre existence. Alors, mesdames et messieurs, mes concitoyens, retenons cette leçon de Coluche. Rappelons-nous que l’horreur peut être atténuée par ces précieux moments de légèreté qui jalonnent notre parcours. Rappelons-nous que la blague, aussi futiles soient-elles, révèle notre humanité profonde, cette capacité à trouver le rire même au sein des ténèbres. En ces temps troublés, ne perdons jamais de vue la valeur de l’humour, de la dérision et du sarcasme. Car, comme le disait notre cher Coluche, « Un jour j’irai vivre en Théorie, parce qu’en Théorie tout se passe bien. » Mesdames et messieurs, je vous remercie de votre attention et espère que cette parenthèse légère aura su alléger l’intensité de notre discours présidentiel. L’horreur est humaine, certes, mais la capacité à rire en est la quintessence.

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Comment reconnaître une blonde dans un aéroport ? C’est la seule qui lance du pain aux avions.

Extrait du manuel d’utilisation du Robot de Compréhension de l’Humour Humain : Section : Compréhension des Blagues Basées sur les Stéréotypes Fonctionnalité : Identification de blagues sur les blondes Introduction : Le Robot de Compréhension de l’Humour Humain a été spécialement conçu pour aider les utilisateurs à comprendre et apprécier l’humour basé sur divers stéréotypes, y compris les blagues sur les blondes. Dans cette section, nous explorons une blague stéréotypée populaire pour illustrer comment le robot identifie et comprend ce type d’humour. Blague (Titre) : Comment reconnaître une blonde dans un aéroport ? Description : La blague « Comment reconnaître une blonde dans un aéroport ? C’est la seule qui lance du pain aux avions » repose sur le stéréotype humoristique associé aux personnes blonde ayant une pensée naïve ou déconcertante. Analyse et Compréhension : Cette blague utilise une situation absurde pour jouer sur les préjugés liés aux personnes blondes. L’image d’une blonde lançant du pain aux avions souligne ironiquement une prétendue confusion ou incompréhension de la réalité. Le robot, en s’appuyant sur ses capacités de compréhension humoristique, identifie cette blague comme une illustration du stéréotype des blondes, visant à susciter le rire par l’exagération de caractéristiques spécifiques. Recommandation d’utilisation : Cette blague, comme toute blague basée sur des stéréotypes, doit être utilisée avec prudence et respect. Le Robot de Compréhension de l’Humour Humain recommande d’éviter de partager ce type de blague dans un contexte où cela pourrait être considéré comme offensant ou inapproprié. Il est essentiel de considérer les sentiments et les sensibilités d’autrui lorsqu’on utilise l’humour basé sur des stéréotypes, et d’adapter son usage en conséquence.

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Pour un cannibale, une femme enceinte, c’est quoi ? Un Kinder Surprise.

Il était une fois, dans un petit village nommé Sourisville, vivait un cannibale particulièrement déjanté du nom de Gaston. Gaston était connu pour son sens de l’humour tordu et son appétit insatiable. Bien qu’il se nourrisse principalement de viande humaine, il était également espiègle et aimait semer la confusion chez les villageois. Un jour, alors que Gaston flânait près de la boulangerie du village, il aperçut une femme enceinte qui marchait lentement. Une idée farfelue lui vint alors en tête. Il se dit : « Pourquoi ne pas faire une blague sur les femmes enceintes ? » Le lendemain matin, Gaston se transforma en boucher ambulant et se posta près de l’entrée du marché. Sur son étal, il déposa un panier rempli de Kinder Surprise, ces délicieuses friandises chocolatées avec une surprise cachée à l’intérieur. Intrigués par cette nouveauté, les habitants du village commencèrent à s’approcher du panier de Gaston. Une jeune femme enceinte s’arrêta devant lui et demanda : « Excusez-moi, qu’est-ce que c’est ? » Gaston, déguisé en boucher avec un grand sourire narquois, répondit joyeusement : « Pour un cannibale, ma chère, une femme enceinte, c’est quoi ? Un Kinder Surprise ! » La femme éclata de rire, suivie de tous les villageois qui avaient entendu la blague. Même les personnes les plus sérieuses se mirent à sourire devant cette étrangeté. Cependant, un vieux sage du village nommé Maurice, qui avait un sens de l’humour un peu douteux, eut une idée encore plus farfelue. Il décida de jouer un tour au cannibale farceur. Le lendemain, Gaston alla chercher son panier rempli de Kinder Surprise pour continuer sa plaisanterie. Mais lorsqu’il ouvrit son étal, il découvrit que les friandises avaient mystérieusement disparu. Perplexe, Gaston commença à se demander ce qui s’était passé. Et lorsqu’il leva les yeux, il vit le vieux sage Maurice, avec un grand sourire, tenant fièrement une cigogne en peluche dans ses mains. Gaston éclata de rire devant cette scène ridicule. Il réalisa que les « Kinder Surprise » étaient devenus de vrais « Kinder Surprise » grâce à l’intervention du sage du village. Dès lors, Gaston comprit que le véritable plaisir se trouvait dans la blague elle-même, et non dans son contenu. Il décida donc de mettre un terme à ses envies cannibales et de consacrer sa vie à semer la joie et l’amusement dans le village de Sourisville. Ainsi, Gaston, le cannibale farceur, devint le clown préféré des habitants. Il animait des spectacles de cirque, faisait des tours de magie et inventait des blagues toujours plus loufoques. Et le village de Sourisville devint un véritable havre de rires, de sourires et de plaisanteries, grâce à un cannibale qui avait trouvé plus de plaisir à faire rire les autres qu’à les dévorer. Et ils vécurent tous joyeusement, en se disant que parfois, même les situations les plus étranges et les plus effrayantes pouvaient se transformer en quelque chose de merveilleux. FIN.