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Le fou et le jeu de carte. Deux fous jouent aux cartes dans un hôpital psychiatrique. L’infirmière arrive avec une seringue. L’un d’eux dit : – Tiens, voilà la dame de pique !

Titre : Un duo déjanté, une partie de cartes qui tourne à l’hilarité totale à l’hôpital psychiatrique Dans l’aile des jeux de l’hôpital psychiatrique, règne une ambiance unique, loin de toute morosité. Les patients, avec leurs imaginations débordantes et leurs esprits farfelus, s’adonnent à toutes sortes d’activités, dont le jeu de cartes. Mais ici, rien ne se passe comme ailleurs. La preuve en est, avec la partie légendaire opposant les deux fous les plus hilarants de cet établissement : Antoine et Marcel. Ce jour-là, les deux compères étaient plongés dans une partie endiablée de cartes. Rires et plaisanteries fusaient de toutes parts, résonnant dans tout le couloir. Les autres patients, intrigués par ce délicieux brouhaha, s’étaient empressés de se réunir autour de la table de jeu. On pouvait sentir l’électricité dans l’air, les spectateurs n’avaient qu’une hâte : être témoins de ce moment décalé. Mais au moment où l’excitation était à son comble, l’infirmière sonna l’heure de passer aux soins médicaux. Elle se tenait devant Antoine et Marcel, une seringue à la main. Les deux fous se figèrent un court instant, puis leurs regards se croisèrent. Un sourire malicieux illuminait leur visage. Sans se laisser démonter, Antoine brisa le silence avec une pointe d’ironie : « Tiens, voilà la dame de pique ! » Son complice Marcel explosa de rire, suivi d’un éclat général de la part des autres patients. Tous, pris d’un fou rire contagieux, s’amusèrent à imaginer l’infirmière en reine de carreau, semblant prête à accomplir son royal devoir. Tandis que l’infirmière, elle-même prise d’une crise de fou rire, s’efforçait de garder son sérieux, Antoine et Marcel tentaient de passer à l’étape suivante du jeu. Après tout, pourquoi ne pas transformer cette injection en une partie de cartes en direct ? « Pariez qui aura l’as de trèfle en premier !  » Déconcertée mais amusée, l’infirmière joua le jeu, recracha tout son sérieux et annonça d’un air théâtral : « Mesdames et messieurs, bienvenue au bluff médicamenteux ! » Les rires redoublèrent, et les patients se jetèrent avec enthousiasme dans cette partie loufoque, où les seringues se mêlaient aux cartes. L’hôpital psychiatrique, d’ordinaire le cadre triste et gris de soins médicaux, se transforma pendant quelques précieuses minutes en un théâtre de l’absurde. La magie du moment rendit chaque fou rire plus contagieux que le précédent. Alors que la partie atteignait son apogée, l’infirmière désigna finalement un gagnant avec un éclat de rire : Antoine remportait la mise avec son as de trèfle imaginaire. Un tonnerre d’applaudissements retentit, les patients se levèrent pour le féliciter. Cette partie de cartes inoubliable restera gravée dans les mémoires de tous ceux présents à cet instant magique. Elle est la preuve que, même dans les endroits les plus sombres, l’humour et l’imagination peuvent être des remèdes universels. Alors, si jamais vous vous trouvez un jour dans un hôpital psychiatrique, gardez en tête que même les fous peuvent parfois donner vie aux histoires les plus farfelues. Car ici, au milieu de l’extravagance, la folie n’est qu’un tremplin vers la joie et l’éclat de rire général.

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J’aimerais qu’il y ait quelque chose entre nous… Un mur, ça me va !

Objet : Transfert de renseignements confidentiels Cher agent, Vos indications ont été reçues et nous avons bien pris note de votre demande. Permettez-moi de vous assurer que toutes les précautions nécessaires seront prises pour assurer la sécurité de cette communication. Voici le message codé que nous avons élaboré conformément aux protocoles établis : « J’aimerais qu’il y ait quelque chose entre nous… Un mur, ça me va ! » Traduction : « La cible a été identifiée à l’aide des renseignements fournis. La cible représente une menace significative pour nos opérations en cours. Nous recommandons vivement l’application de mesures de sécurité renforcées afin de garantir la protection de nos intérêts. Par conséquent, nous recommandons la mise en place immédiate d’une surveillance étroite de la cible en question. » Veuillez noter que ce message n’est disponible que pour votre usage personnel et ne doit en aucun cas être divulgué à des tiers non autorisés. Nous vous remercions de votre vigilance et de votre coopération continue dans cette opération cruciale. Cordialement, Agent de renseignement A

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Que dit un volcan qui arrive à côté d’une montagne ? Ça ne vous dérange pas si je fume ?

Dans un temps médiéval, où se forgeaient les légendes, Un barde vint conter une histoire bien étrange. Au coin du feu qui dansait, il commença sa ballade, Chassant les ombres d’un drapé mélodieux de sa cadence. « C’était en des terres sauvages, là-bas, sur une montagne, Un volcan majestueux surgit tel un livre qui se déchaine. Sa lave ardente parcourait les pentes et les vallées, D’une nature puissante, nul ne pouvait l’ignorer. Un matin, sur son chemin, un autre géant apparut, Une montagne majestueuse, d’une envergure absolue. Ensemble, ils contemplèrent le paysage d’un oeil fier, De leur présence imposante, ils semblaient réchauffer la Terre. Soudain, le volcan adressa un murmure étrange à l’horizon, Il demanda, tout en fumant, sans nulle hésitation : « Ô noble montagne, je me tiens ici à tes côtés, Penses-tu qu’il te serait inconvenant si je prenais feu ? » La montagne, toute fière et gracieuse dans sa réponse, Lança ses échos à travers les sommets en une danse : « Cher volcan, tes volutes éclatent de passion ardente, Mais je dois te rappeler que fumer peut s’avérer indigeste ! » Le barde, alors, rythma sa ballade d’un sourire et d’amusement, Les rimes et les paroles berçaient l’air d’un charme envoûtant. Dans le clair-obscur de cette scène d’un autre temps, La légende s’écouvrait, tissant un lien éternel entre les géants. Ainsi, dans les contes qui se racontent aux veillées, La blague du volcan et de la montagne a perduré. Un chant d’amitié improbable, rempli d’une folie douce, Sur le fil du temps, un rire éternel qui se tricote et s’épouse.