Devinettes

Monsieur et Madame

Monsieur et Madame Dicule. M. et Mme Dicule ont un fils. Comment s’appelle t il ? – Thierry (t’es ridicule).

Monsieur et Madame Dicule sont des parents aimants, mais ils ont un sens de l’humour un peu particulier. Leur fils, prénommé Thierry, doit souvent faire face aux blagues de ses parents. En effet, chaque fois que quelqu’un demande son nom, il doit se préparer à la blague inévitable : « Thierry, t’es ridicule ». Thierry, habitué à la situation, prend la blague avec humour et se contente de sourire en haussant les épaules. Ses amis, eux, ne peuvent s’empêcher de rire à chaque fois qu’ils entendent le jeu de mot. Et même s’ils ont parfois un peu pitié de Thierry, ils reconnaissent que la situation est drôle et plutôt originale. Malgré tout, Monsieur et Madame Dicule ne se lassent pas de faire cette blague à chaque occasion. Pour eux, c’est une façon amusante de rendre la vie un peu plus légère et de faire rire leur entourage. En fin de compte, Thierry n’a pas à se plaindre : sa famille lui assure des moments de rigolade et de bonne humeur, même s’ils se moquent un peu de lui. Car après tout, comme le dit si bien l’adage, mieux vaut en rire qu’en pleurer. Et avec des parents aussi farfelus que les Dicule, Thierry est assuré de toujours avoir le sourire aux lèvres.

Devinettes

Pourquoi le communiste ne joue-t-il jamais au jeu du Monopoly ? Parce qu’à chaque fois qu’il construit un hôtel, il veut le transformer en appartements pour que tout le monde puisse y habiter gratuitement !

Il était une fois dans un pays lointain, un homme nommé Staline qui adorait jouer au Monopoly. Cependant, Staline n’était pas un joueur ordinaire. Pour lui, le Monopoly n’était pas qu’un jeu, c’était une leçon de vie. Un jour, Staline invita ses amis à jouer. Ils s’installèrent autour de la table, déployant le grand plateau coloré. Staline choisit le pion du chapeau haut-de-forme, affirmant qu’il aimait son élégance. Les autres choisirent leurs pions, et le jeu commença. Au début, Staline jouait avec enthousiasme. Il achetait des propriétés, construisait des maisons, et même des hôtels. Il semblait inarrêtable. Mais ses amis n’étaient pas en reste. Ils jouaient habilement, et bientôt, le jeu devint plus compétitif. À mesure que le jeu avançait, Staline commença à perdre. Ses amis avaient construit des hôtels sur les propriétés les plus précieuses, et à chaque tour, Staline perdait un peu plus de son argent de Monopoly. Frustré, il se mit à réfléchir à une stratégie. Soudain, il eut une idée. « Et si nous changions les règles ? » proposa-t-il. « Que se passerait-il si nous partagions toutes les propriétés ? Tout le monde pourrait bénéficier de chaque hôtel et de chaque maison ! » Ses amis étaient perplexes, mais ils décidèrent d’essayer. Le jeu se transforma alors. Au lieu de rivaliser, ils commencèrent à coopérer. Chaque fois qu’un joueur passait sur une propriété avec un hôtel, tous les joueurs recevaient un peu d’argent. Le jeu devint plus long, mais aussi plus joyeux. Ils riaient, partageaient des histoires, et le Monopoly n’était plus un champ de bataille, mais un lieu de camaraderie. Finalement, le jeu prit fin non pas parce que quelqu’un avait gagné, mais parce qu’ils avaient tous décidé de s’arrêter ensemble. Ils avaient appris une précieuse leçon sur le partage et la coopération. Staline sourit en rangeant le jeu. Bien qu’il ait perdu selon les règles traditionnelles du Monopoly, il se sentait comme un gagnant. Dans cette partie, il avait découvert quelque chose de plus important que la victoire : l’importance de l’amitié et du partage. Et c’est ainsi que Staline, le joueur de Monopoly, apprit que parfois, perdre selon les règles peut signifier gagner dans la vie.

Monsieur et Madame

Monsieur et Madame Depoing. M. et Mme Dépoing ont un fils. Comment s’appelle t il ? – Jean Marc (j’en marque des points).