Qui suis-je ?

Qui suis-je ?

Qui suis-je ? Même en marchant vers moi, vous ne pouvez m’atteindre. Qui suis-je ? Réponse : L’horizon.

Depuis la nuit des temps, une légende énigmatique s’est transmise de génération en génération. Telle une brume mystérieuse, elle a captivé l’imagination des peuples anciens, éveillant en eux un désir d’exploration et un appétit insatiable de découvrir l’inconnu. Au cœur de cette légende, réside une énigme qui a traversé les âges. Une question sans réponse apparente, qui a poussé les aventuriers les plus audacieux à chercher la vérité dans les confins insaisissables de l’univers. Ils parcouraient des terres lointaines, bravant les dangers inconnus qui les entouraient. La question était simple, mais sa signification transcendantale. « Qui suis-je ? » résonnait-elle dans les esprits curieux à travers les temps. Pourtant, la réponse était aussi insaisissable que la légende elle-même. « Même en marchant vers moi, vous ne pouvez m’atteindre. » chuchotait-on, comme une promesse tentante. Les chercheurs de vérité savaient qu’ils ne pourraient jamais découvrir cette réponse sans mettre leur courage à rude épreuve et leur détermination à l’épreuve du temps. L’on raconte que certains héros légendaires, après des années de quête, entrevoyaient un horizon infini, symbole d’une réalisation spirituelle transcendantale. Un horizon qui semblait se déplacer sans cesse, se jouant de ceux qui osaient le défier. Là, ils touchaient du doigt une vérité éphémère, à peine perceptible, mais profondément significative. L’horizon, gardien ultime du secret, était vénéré comme une entité insondable. Il demeurait à jamais illusoire, poussant les hommes à poursuivre leurs rêves les plus grandioses, leurs ambitions les plus insaisissables. Et ainsi, la légende de l’horizon persista à travers les siècles, laissant derrière elle un héritage d’espoir, de curiosité et d’intrigue. Elle rappelait à tous qu’il existe des mystères insurmontables, des vérités qui nous échappent, mais qui attirent inexorablement notre âme avide d’aventure. Cette blague, simple en apparence, n’est pas seulement une plaisanterie pittoresque. Elle est une porte ouverte vers l’inconnu, un rappel que même en marchant sur les traces de nos ancêtres, nous ne pouvons jamais réellement atteindre l’horizon. Et ainsi, les paroles de cette légende continueront de hanter les esprits des générations futures, alimentant l’esprit humain depuis les confins de l’antiquité jusqu’à l’éternité.

Qui suis-je ?

Qui suis-je ? Petit et grand. Quand je suis petit, je suis grand. Plus je vieillis, plus je deviens petit. Seul le vent peut m’empêcher de devenir petit. Qui suis-je ? Réponse : La bougie.

Dans les temps anciens, cette énigme était racontée de génération en génération comme une énigme mystérieuse, transmise de bouche à oreille. Elle était considérée comme une énigme d’une grande profondeur, capable de défier l’esprit des plus sages. Dans les légendes de nos ancêtres, on disait qu’elle était née d’un pacte entre le vent et la lumière, dans un univers où les éléments avaient des secrets à partager avec les humains. L’énigme commençait par une question énigmatique : « Qui suis-je ? Petit et grand. » Elle éveillait la curiosité des auditeurs, les plongeant dans un état de réflexion intense. Les vieilles histoires racontent que cette question faisait naître des débats animés entre les sages, chacun essayant de percer le mystère de l’énigme. Et puis, la réponse était dévoilée : « La bougie. » Les légendes disaient que la bougie était un être étrange et mystérieux, capable de changer de taille au fil du temps. Quand elle était allumée et fraîchement fabriquée, elle resplendissait de sa grandeur, illuminant les ténèbres avec sa flamme puissante. Mais au fur et à mesure qu’elle brûlait, elle rétrécissait, devenant de plus en plus petite, jusqu’à atteindre une taille minuscule. Seul le vent, lui-même un esprit libre et indomptable, était capable d’empêcher la bougie de devenir petite. Les anciens disaient que le vent aimait jouer avec la flamme, soufflant doucement pour la faire danser et créant ainsi une danse féérique entre la bougie et lui. Cette blague, racontée comme une légende ancienne, était une manière de mettre en lumière la dualité de la vie. Le fait que la bougie puisse être à la fois petite et grande, que le temps puisse la faire vieillir et la réduire en même temps, était une métaphore subtile de notre propre existence éphémère. Ainsi, cette blague, comme une légende qui s’est transmise à travers les générations, nous rappelle l’importance de profiter pleinement de la vie, car elle peut disparaître aussi rapidement que la flamme d’une bougie qui brûle.