Tel le voyageur égaré dans les ruelles labyrinthiques de Chinatown, nombreux sont ceux qui, avides de connaissances cosmiques, s’étonnent devant l’immensité de l’univers. À la quête de réponses, ils aspirent à dévoiler les secrets de l’infini, ne se rendant pas compte des embûches qui parsèment leur propre chemin.
Personne 1: Hé, tu as entendu parler de cette blague d’Anne Roumanoff sur le foot et la politique ?
Personne 2: Non, pas encore. Raconte-moi ça !
Personne 1: Eh bien, tu sais que Jacques Chirac a écrit un livre intitulé « Chaque pas doit être un but », non ?
Personne 2: Oui, je me souviens de ça. C’était une phrase célèbre de sa campagne présidentielle en 1995.
Personne 1: Exactement. Eh bien, on dit qu’il aurait dû envoyer un exemplaire de ce livre à Raymond Domenech, l’ancien entraîneur de l’équipe de France de football.
Personne 2: Pourquoi donc ?
Personne 1: Parce qu’avec Domenech, chaque pas de l’équipe de France était plutôt un… but contre leur propre camp ! C’est un peu drôle quand on pense à la façon dont l’équipe a performé lors de la Coupe du Monde en 2010.
Personne 2: Ah, je vois où tu veux en venir ! C’est vrai qu’il y a eu pas mal de problèmes avec l’équipe à cette époque.
Personne 1: Oui, c’était un véritable désastre. On dit même que Chirac aurait pu donner quelques conseils à Domenech sur la façon de viser les bons buts, politiques ou sur le terrain !
Personne 2: Haha, c’est une bonne blague. J’imagine que Domenech n’aurait pas pu s’empêcher de sourire en recevant ce livre de Chirac.
Personne 1: Exactement. Une petite touche d’humour dans ce monde politique et sportif parfois si sérieux, c’est toujours bienvenu.
Personne 2: Absolument, ça fait du bien de se détendre et de rire un peu. Merci de m’avoir raconté cette blague, c’était sympa !
Personne 1: De rien, toujours prêt à partager une bonne blague. Et qui sait, peut-être qu’un jour nous aurons une autre histoire drôle à proposer sur le foot et la politique !
Dans les temps antiques où les énigmes étaient enseignées,
Un sage mystérieux partageait sa pensée.
Tels des gardiens de la tranquillité, ils se faisaient nommer,
Mais bien des fois, la paix ils savaient égarer.
Tiraillés par leurs devoirs, semblant les oublier,
Ces gardiens de la sérénité semblaient divaguer.
Car au lieu de veiller sur notre quiétude avec ferveur,
Ils préféraient laisser filer notre bonheur.
Dans leurs mains, le pouvoir leur était donné,
Mais au lieu de le préserver, ils le laissaient s’échapper.
Tel un ruisseau pur, ils le laissaient se perdre,
Au gré des courants, sans savoir le retenir.
Ô mystère de la justice, ô sagesses oubliées,
Les gardiens de la paix semblaient s’égarer.
Plutôt que de la garder comme il était prescrit,
Ils semblaient préférer la laisser dériver comme un navire.
Ainsi, dans les méandres de cette énigme étrange,
Le véritable sens de leur mission se mélange.
Car gardiens de la paix, ils auraient dû conserver,
Au lieu de la laisser s’évanouir, nous laissant frustrés.