Mes chers concitoyens, c’est avec une profonde gravité que je m’adresse à vous aujourd’hui. Nous faisons face à des défis sans précédent, des défis qui nécessitent une réflexion sérieuse et un dévouement sans faille. Mais permettez-moi de vous apporter un moment de légèreté dans cette période sombre. Pourquoi le livre de maths était triste ? Parce qu’il avait trop de problèmes. Rions un instant ensemble, mes chers compatriotes, car malgré toutes les difficultés qui nous entourent, il est important de trouver de l’humour et de la joie même dans les moments les plus sombres. Restons unis et solidaires, et ensemble nous surmonterons tous les obstacles qui se dresseront sur notre chemin. Merci, que Dieu bénisse notre nation.