Il était une fois, dans un village lointain, Un couple bien connu, les Dutribunal sereins. Monsieur et Madame avaient une merveille, Une fille si douce, un trésor sans pareil. Son nom était Clemence, tel un rayon de soleil, Sa clémence était grande, un coeur sans pareil. Les gens venaient la voir, pour trouver du réconfort, Car la justice de son père était un vrai trésor. Aussi douce que l’agneau, aussi forte que l’acier, Clemence Dutribunal était aimée de tous les gens. Son nom résonnait partout, comme une mélodie, Qui apportait la paix, et adoucissait les vies. Les gens venaient chantonner, louer sa clémence, Car en sa présence, on oubliait nos offenses. M. et Mme Dutribunal étaient fiers de leur fille, Car elle était la lumière, dans une sombre guérilla. Ainsi se termine ma ballade, sur une famille si belle, Les Dutribunal étaient aimés, dans leur village modèle. Que la clémence de Clemence inspirera les coeurs, Et que la justice du tribunal brille pour toujours.