Dans l’écho des temps médiévaux, un barde chanta, Un conte teinté d’humour, tel un fin éclat de jazz, Des mots habiles et malins, d’un ton rieur et léger, Sur le mot « jazz », un trésor pour les amateurs du Scrabble. Sur la place du village, les villageois se sont rassemblés, Pour écouter le récit, du barde talentueux et inspiré, Sa voix portait loin, portée par le vent du soir, Et tous étaient impatients de découvrir son histoire. « Oyez, oyez, braves auditeurs, Si j’vous dis qu’le jazz, c’est tout un art majeur, Mais plus qu’ça encore, c’est le mot que nul ne peut ignorer, Au Scrabble, il illumine, il fait le bonheur des joueurs éveillés. Imaginez le tumulte, dans les chaumières enchantées, Des lettres savamment placées, formant ce mot précieux, Des points doux comme des velours, remplissant les cœurs de joie, Et les joueurs, réjouis, s’empressent de le dire avec émoi. Le J, le A, le Z, le Z, joué avec malice, Le barde assurait un score élevé, sans compromis, Et tous les spectateurs, pleins de surprise et d’admiration, Applaudissaient le barde, maître de cette création. Mais dans cette ballade, un avertissement, je vous fais, Car au Scrabble, mon ami, point de tricherie ni de tracas, Il faut jouer dans les règles, et cela est essentiel, Pour apprécier le jazz, sans en faire un vaudeville. Ainsi, au Moyen Âge, les mots s’enchaînaient en harmonie, Et le jazz, ce mot magique, offrait une symphonie, Les rimes et les rythmes se mêlaient, dans un ballet enivrant, Et les villageois repartaient, le cœur léger, le sourire flottant. Alors, mes amis, au gré des temps révolus, Souvenez-vous du jazz, et de ce mot tant attendu, Plongez dans les mots croisés, les lettres alignées avec sagesse, Et que cette ballade, vous inspire de joyeux scrabbles avec adresse ! »